GC 2013 : Dying Light en preview, nos premières impressions

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Annoncé à l’E3, le nouveau Techland était jouable sur Playstation 4 lors de la dernière Gamescom et nous avons pu tester ce Dying Light qui pourrait bien concrétiser ce qu’aurait du être Dead Island, en tout cas ce qu’on aurait aimé qu’il soit. En effet, ici pas question de slasher du zombie à tout va, on est bien plus proche d’un survival que d’un hack’n'slash en vue FPS. Et ce n’est pas cette petite demi-heure de jeu qui nous fera penser le contraire. Petit guide de survie en territoire zombie. L’histoire de ce Dying Light nous propose de suivre les aventures d’un groupe de survivants à une infestation zombie dans ce qui reste d’un bidon-ville en périphérie d’une ville d’Amérique du Sud.

Les zombies y sont nombreux et auront des comportements différents en fonction du cycle jour/nuit en temps réel du jeu. La journée, ils ressemblent à des zombies de base, lents, stupides et fondants en ligne droite. La nuit tombée, tout change, ils deviennent bien plus agressifs, attaquent en bande et n’hésiteront pas à vous poursuivre jusqu’à ce que mort s’ensuive. Heureusement pour nous, notre héros est passé maître dans l’art du Parkour, ce sport urbain qui consiste à se mouvoir dans l’environnement sans casser son rythme en sautant, glissant et virevoltant entre les immeubles et les obstacles du quotidien.

Bon, on ne va pas vous mentir, on est encore loin d’un Mirror’s Edge, mais manette en main, le gameplay est fluide, naturel et le level-design se prête bien aux cabrioles. Dans la mission qui nous était proposée, nous devions explorer la ville et activer divers pièges à zombies (clôtures électrifiées, klaxons activables à distance, éclairages, etc.) en les attirants d’un côté ou de l’autre à l’aide de fusées éclairantes pour nous frayer un chemin à l’abri des infestés. Comme tout ne se déroule jamais comme on l’avait imaginé, le courant finit par sauter et il faut grimper jusqu’à la centrale électrique pour relancer le disjoncteur.

Manque de bol, le soleil se couche et il va falloir rentrer au camp de base à toute vitesse en sautant de toit en toit et en évitant les hordes de morts-vivants qui jonchent les rues de ce tas de taule. Mine de rien, j’ai flippé dans ce Dying Light ! Je ne sais si c’est le développeur de Techland qui me gueulait « A DROITE ! A GAUCHE ! ATTENTION !!)dans le casque où le grognement constant de mes poursuivants, mais j’ai couru, sauté, glissé comme un dératé jusqu’à la safehouse. On nous assure que la fuite ne sera qu’une des options et que le jeu offrira également un gameplay plus orienté infiltration, mais nous n’avons malheureusement pas pu nous y essayer.

En tout cas, ce Dying Light est une très bonne surprise qu’on n’attendait pas plus que ça. Le moteur Chrome Engine 6 fait son effet en apportant de superbes effets et jeux de lumière et des textures de bonne qualité. De même, le titre tournait sans souci à 60fps dans la version Playstation 4 que nous avons testée. Enfin et c’est avant tout le principal, Dying Light est un vrai bon survival qui vous provoquera à coup sûr des sueurs froides lorsque viendra la nuit tombée, seul ou à plusieurs car le jeu proposera évidemment un mode coopératif à 4 joueurs. On a hâte d’en apprendre plus à son sujet, sa sortie n’étant pas prévue avant 2014.

BiLLOU95, Rédacteur en chef

Commentaires
2 réponses à “GC 2013 : Dying Light en preview, nos premières impressions”
  1. Un article très intéressant, à diffuser sans compter

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